Les chamailleries de droite et de gauche se sont multipliées avant et après ces piètres élections cantonales... Bref, rien ne change sur la planète politique française...
Pour remplir mon devoir civique, j'ai lu l'ensemble des professions de foi et surprise...rien sur le logement!!! Effectivement, les compétences du Conseil général concerne avant tout les transports, l'éducation et ...le social.
Pour les élus, le social est avant tout basé sur les aides, les subventions... Et si on remplaçait tout ce capharnaüm de dispositifs plus surréalistes les uns que les autres par une véritable opération de construction immobilière pour accueillir tous ceux qui se trouvent en situation précaire.
Ainsi, l'aide sociale serait mieux utilisé et pourrait bénéficier à tous.
C'est une idée. A nos représentants de creuser cette piste...
En passant quelques heures à Milan, il est difficile de ne pas aborder le cas Berlusconi. En tant que français, nous n'avons pas à juger ce leader politique "haut en couleur", mais il est intéressant d'entendre les italiens,à l'heure du déjeuner rire des frasques de leur Premier Ministre. Aux terrasses, les langues se délient sous un soleil hésitant. Est-ce un dictateur, un produit de la mafia ou un personnage hors-norme ? Les avis divergent selon les générations. Mais son cas anime les tables, à quelques heures de son probable départ après 15 années de pouvoir.
Les italiens restent dubitatifs, surtout à Milan, patrie du groupe de Médias de la dynastie Berlusconi. Les hommes rêvent de ses conquêtes, les femmes s'interrogent sur l'avenir du pays. Pour répondre à cette question, un ami italien grand collectionneur d'art a eu cette analyse: " Le gouvernement et l'Etat italien sont pauvres, mais les italiens sont riches. Et c'est cela l'essentiel. Alors, qui après Berlusconi, tout le monde s'en fiche... De plus, la classe politique en Italie est une coquille vide... avec aucun leader emergeant...."